Les pratiquants de styles externes seuls (comme le kung fu Shaolin) sont souvent trop rigides et trop durs dans leurs mouvements. Ils manquent de souplesse, d’élasticité à la fois physique et mentale.
Les pratiquants de styles internes seuls (comme le Tai Chi Chuan) sont par contre souvent trop mous dans leurs mouvements et leur pratique martiale manque de réalisme.
Pratiquer les styles externes et internes en même temps permet de pouvoir s’adapter à toutes les conditions de combat, mais également – et c’est là le plus important – à toutes les situations de la vie, car la pratique martiale a forcément des répercutions sur notre comportement.
Cette symbiose se retrouvera également dans les combats réglés à deux – avec ou sans armes – (« Po Chi »), l’étude des armes (18 armes de base), le travail des chutes (« Ti Kung Ch’üan ») et des luxations (« Ch’in Na ») et enfin par le combat libre.